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LesJardins des
vtrtut'uX
Ce qu'il faut retenir:
• Les
venus immenses de la sourate 112
(af-Ikhlaj).
Bien qu'elle soit coune, dIe renferme des tresors inestimahles.
E1le rraite de
l'
essence mene de Dieu et sa lecture entraine une recompense enorme.
1011.
AbO Sa'i'd al-Khudri rapporte :
Un homme entendit quelqu'un reciter la sourate 112
(Al-Ikhldj)
et la repeter plusieurs
fois de suite. Le lendernain,
il
alla trouver Ie Prophete
(~)
et l'informa [de ce qu'il avait
entendu], considerant cette ceuvre minime. Le Prophete
(~)
lui dit alors :
«
Par Celui
qui tient mon arne dans Sa Main, cette sourate equivaut au tiers du Coran
!
»
[BukhM]
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1012.
Selon AbO Hurayra, Ie Prophete
(~)
a dit au sujet de la sourate 112
(AI-lkhI8f?) :
Elle equivaut au tiers du Coran.
[Muslim]
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1013.
Anas rapporte :
Un homme dit:
«
Prophete de Dieu, faime la sourate: "Dis: Dieu est Un."»
«
Ton
amour pour cette sourate t'a valu ton entree au Paradis, repondit Ie Prophete.
»
rnrmidhl,
BukhM Ie rapporte selon une chaine consideree
mu'alfaq]
Ce qu'iI faut retenir :
• Ce hadith, ainsi que les trois precedents, prouve les vertus de cette sourate qui, malgre sa concision, renferme des
rresors inestimables.
1014.
Selon 'Uqba ibn 'Amir, Ie Prophete
(~)
a dit :
As-tu entendu les versets qui ont ete reveles cette nuit
?
On n' a jamais rien vu
de semblable! Ce sont:
~
Dis: "Je recherche protection aupres du Seigneur
de l'aube naissante... " , (Coran 113) et
~
Dis: "Je recherche protection aupres du
Seigneur des hommes ... " ,,(Coran 114)
[Muslim]
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Ce qu'i1 faut retenir:
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/
• Ces
deux soutates sont les deux dernieres du Coran (sourates 113 et 114). Elles sont egalement appel6es
al
mu'awwidhatdn
(les deux protecrrices) car elles sont une protection contre tout mal.
1015.
Aba Sa'id al-Khudri rapporte :
Le Prophete
(~)
demandait protection [a Dieu] contre les genies et contre Ie mauvais
ceil jusqu'a la revelation des deux protectrices
(al-muawwidhatan,
les deux sourates
113 et 114).
A
partir de leur revelation, Ie Prophete
(~)
les utilisa comme protection
et delaissa toute autre formule.
[rirmidhi, qui Ie considere
{lasan]